Raymond Weil a sa Millésime et Maurice Lacroix a l’Aikon. Deux marques suisses qui sont longtemps restées dans l’ombre des marques de grands groupes, mais qui ont percé ces dernières années grâce à des montres qui ont donné vie à toute une collection. Certes, l’une a eu un GPHG et pas l’autre, mais l’issue est globalement la même. Aujourd’hui donc, nous vous parlons de nouvelles déclinaisons qui marquent une grande nouveauté pour la descendante de la Calypso (oui c’était son nom), soit l’apparition de la céramique en 39 et 42mm.
C’est une montre que nous avions testée et appréciée. La collection Aikon accueille une nouvelle évolution intéressante, disponible en deux variantes. La céramique fait donc son entrée au niveau du boîtier et du bracelet, apportant une résistance aux rayures incomparable, mais aussi une légèreté accrue et une esthétique quasi-futuriste. L’Aikon Automatic Ceramic conserve les traits caractéristiques de la collection phare de Maurice Lacroix, comme son boîtier de forme ronde avec des angles marqués, sa lunette dotée de 6 « griffes » ainsi qu’un bracelet à maillons intégrés. Le modèle blanc mesure 39mm de largeur avec une finition polie, tandis que le modèle noir affiche un diamètre de 42mm avec une finition sablée, créant un distinguo clair entre la montre destinée aux hommes et celle pour les femmes. En revanche, les deux restent étanches à 200 mètres !
Leurs cadrans restent fidèles à l’identité de la gamme, avec une finition guillochée qui crée un jeu de lumière intéressant et une excellente lisibilité grâce aux forts contrastes offerts par le mélange de noir et blanc. Les index appliqués et les aiguilles sont également dotés de Super-LumiNova pour une visibilité accrue dans des conditions de faible luminosité avec un guichet de date rendu le plus discret possible grâce à un disque ton sur ton. Au cœur de ces Aikon Automatic Ceramic, on retrouve un mouvement automatique, un calibre ML115 – soit un Sellita SW200 personnalisé par Maurice Lacroix – offrant 38 heures de réserve de marche.
Le tout est sans surprise monté sur des bracelets en céramique avec un fermoir papillon en acier inoxydable. Une combinaison qui permet le meilleur des deux mondes. N’oublions pas que malgré sa haute résistance aux rayures, la céramique n’aime pas du tout les chocs, alors évitez de faire tomber votre montre car c’est une erreur que l’on ne peut faire qu’une seule fois… Après le modèle en titane, c’est une évolution bienvenue qui ravira les amateurs du genre, avec un embonpoint tarifaire logique : comptez 3 100€ pour faire l’acquisition d’une de ces montres de la marque des Franches-Montagnes, ce qui est complètement logique. Ces modèles seront disponibles chez les détaillants agréés à partir du 11 décembre 2024, pile avant les fêtes de fin d’année !
Bientôt disponible chez Ocarat & chez Horel >>>
CARACTÉRISTIQUES – MAURICE LACROIX AIKON AUTOMATIC CERAMIC
Boîtier : Céramique polie ou satinée
Dimensions : 39 ou 42mm de largeur x 11mm d’épaisseur
Étanchéité : 200 mètres (20 ATM)
Cadran : Blanc ou noir
Mouvement : Automatique
Calibre : ML 115 (base Sellita SW200)
Bracelet : Céramique polie ou satinée
Boucle : Déployante papillon
Prix : 3 100€ TTC
Plus d’informations sur le site de Maurice Lacroix.
novembre 30, 2024
Au premier choc, bingo, plus de montre…
Une réserve de marche de 38 h en 2024 ! Non merci hors course